Skip to content Skip to footer
Par Léa Movia - Le 19 janvier 2017
Bonheur par-ci, bonheur par là : de plus en plus de conférences, techniques, conseils donnés pour “être heureux”. Chez Les Petits Frenchies, nous pensons que le bonheur est une recherche intime et qu’il ne faut pas non plus être obnubilé par cette course au bonheur, au risque de passer in fine totalement à côté.

 MAIS, on ne souhaite pas mourir bête donc on a cliqué sur “Les antisèches du bonheur”.  Jonathan Lehmann a tout simplement décidé d’arréter de mettre des bash à l’instant présent. Pour faire simple, c’est là, MAINTENANT, tout de suite, quand vous lisez cet article qui importe car toutes nos angoisses déboulent d’événements passés et de notre projection dans l’avenir.
Voici ce que nous avons retenu de sa prise de parole.

1. Le mental est négatif :

Notre esprit retient naturellement beaucoup plus facilement les pensées négatives que positives. On reste beaucoup plus bloqué sur un reproche que sur un compliment. C’est simple, souvenez-vous des élans positifs, votre esprit s’habituera.

2. Le mental est compulsif : 

60 000 pensées par jour, notre esprit bourlingue TOUT le temps. La clé : MÉ-DI-TEZ. Nous vous en parlions justement en novembre dernier lorsque nous vous expliquions comment cette pratique, obscure au départ, nous avait permis de bien vivre ce mois batard de l’année. Dans notre vie quotidienne,  on va à 100 à l’heure, on est impatients, parfois violents sans même nous en rendre compte.  Un peu cui-cui-les-petits-oiseaux la méditation, mais elle a le mérite de renforcer la confiance en soi et la créativité. On se sent plus ancré, plus en phase avec nous-mêmes, nous avons testé, ça marche, promis. C’est simple, c’est 10 minutes par jour, DIX !

3. Le mental est coincé dans la tête : 

Il est intérieur, abstrait. Tout est plus simple quand on le met par écrit, qu’on le schématise. Calculer en posant par écrit s’avère a priori plus facile que mentalement. Il est temps de “sortir vos poubelles mentales”. C’est simple, tout ce qui est exteriorisé est simplifié.
Bref, roulez des pelles au présent, c’est la solution.
Merci Jonathan pour cette piqure de rappel.