De critique ciné à l’un des plus grands réalisateurs français de tous les temps, Jean-Luc Godard aura toujours sa place au Panthéon des Frenchies qui ont marqué ce bas monde. Précurseur du mouvement de la Nouvelle Vague dans les années 60, il s’est éteint ce mardi 13 septembre 2022 à l’âge de 91 ans – dont 71 de carrière dans le cinéma. Adoré par de nombreux fans, dont font partie de très grands auteurs tels que Michel Hazanivicius, – qui lui avait même consacré un film – Quentin Tarantino ou même Kubrick pour ne citer qu’eux, il laisse derrière lui une ribambelle d’heures de cinématographie absolument géniale, que l’on visionnera encore et encore, afin ne jamais oublier ce grand bonhomme.
Pour le célébrer, nous avons sélectionné 10 répliques cultes issues des films de Jean-Luc, qui ont touché nos petits coeurs frenchy… RIP monsieur Godard, et un grand merci !
Une femme est une femme (1961)
“Je ne suis pas infâme, je suis une femme.”
La Chinoise (1967)
“J’ai bien réfléchi, je ne t’aime plus.”
À bout de souffle (1960)
“Si vous n’aimez pas la mer, si vous n’aimez pas la montagne, si vous n’aimez pas la ville : allez vous faire foutre !”
Le Petit Soldat (1963)
“La photographie c’est la vérité, et le cinéma, c’est vingt-quatre fois la vérité par seconde.”
Pierrot le fou (1965)
“Parce que tu me parles avec des mots et moi, je te regarde avec des sentiments.”
For Ever Mozart (1996)
“La guerre, c’est simple : c’est faire entrer un morceau de fer dans un morceau de chair.”
Bande à part (1964)
“Il faut se méfier des grandes gueules bien sûr et, par conséquent, se méfier aussi bien du préjugé contre les grandes gueules.”
Le Mépris (1963)
“Il y a cinq minutes au moins que je te regarde, j’ai l’impression de te voir pour la première fois…”
On vous cale aussi la petite bande-annonce du film ci-dessus, qui vaut franchement le coup d’œil !
Vivre sa vie (1962)
“Moi, je crois qu’on est toujours responsable de ce qu’on fait, et libre. Je lève la main, je suis responsable. Je tourne la tête à droite, je suis responsable. Je suis malheureuse, je suis responsable.”
Masculin Féminin (1966)
“Voulez-vous devenir ma femme ?
– On verra ça plus tard, je suis pressée, au revoir.”