Tout commence avec les Frenchies de chez Dassault Systèmes, qui avaient une idée en tête : vouloir concilier Art (avec un grand A) et nouvelles technologies. Comment ? En mettant à disposition ses technologies 3D pour créer le tout premier violon électrique… imprimé en 3D ! Et si on vous disait que vous allez pouvoir le découvrir en vrai, et en musique ?
L’instru en question se nomme 3Dvarius : un rêve devenu réalité conduit par Dassault Systèmes, qui est cette année bien décidé à nous émouvoir. Un violon électrique unique en son genre, qui fait la part belle au spectre sonore, à l’ergonomie de jeu, le tout à travers un design unique combinant précision et performance. Que demander de mieux ? C’est donc à l’occase du lancement de sa nouvelle campagne « THE ONLY PROGRESS IS HUMAN », qui invite le grand public à agir face aux enjeux sociétaux et environnementaux de demain grâce aux mondes virtuels, que Dassault Systèmes s’apprête à orchestrer – littéralement – une série de 10 actes exceptionnels à travers le monde.
Et l’un de ces moments forts va prendre place à Paname, aux côtés d’un violoniste savoyard décoré Chevalier de la Légion d’honneur – rien que ça les gars ! – nommé Renaud Capuçon. Son orchestre et lui-même vont vous faire vivre une expérience artistique, musicale et visuelle unique, le bel objet en 3D posé sur l’épaule du virtuose et prêt à délivrer ses superbes notes électriques. Alors mettez-vous vite au diapason sans plus attendre, et rendez-vous le 26 février prochain à 20h au Jardin des Plantes, Paris.
L’événement affiche déjà complet, mais on vous fait gagner pas moins de 100 places pour venir y assister ! On est comme ça nous chez LPF… Pour participer, envoyez-nous simplement un petit mot doux avec votre nom et prénom via concours@petitsfrenchies.com. Venez avec les yeux et les oreilles grandes ouvertes, pour découvrir le son unique de ce violon du turfu. On se voit là-bas !
C’est quoi ? Virtual Harmony
C’est quand ? Le 26 février 2020 à 20h
C’est où ? Au Jardin des Plantes, Paris (75005)
Crédits photo © Thomas Tetu