L’interview d’Audrey, co-créatrice d’Arsène. Prendre un produit rétro : l’espadrille, et le rendre moderne. On lui créé un univers dans lequel il peut se développer : graphique, coloré. On s’inspire de la mode, de la musique, des voyages que l’on a pu faire, bref de tout ce qui nous intéresse au quotidien. On essaye surtout de créer ce qui nous plaît et de le diffuser.
Idée: d’où est-elle venue ? En regardant autour de nous, on a grandi dans la capitale de l’espadrille : Mauléon (Pays Basque, 64). Ça finit par donner des idées. La fabrication Made In France était logique, car pour nous c’est uniquement à Mauléon que sont fabriquées les vraies espadrilles.
Business revenu: comment comptez-vous créer du chiffre d’affaires ? En vendant des espadrilles. A lot. (du moins on espère). Notre e-shop est ouvert depuis le 15 avril, pour le moment on reste sur le territoire français, mais on aimerait bien dire bonjour à d’autres pays histoire de voir si Arsène peut les intéresser.
Futur: quels sont vos objectifs à court terme (- de 6 mois) moyen terme (entre 6 mois et 2 ans) et à long terme (+ de 2 ans) ? A court terme : lancer la première collection et se faire connaitre. Ça fait presque un an qu’on est « bipolaire » avec ce projet : « Ca va marcher ! » / « Non, ça va pas marcher ! ». En tout cas on fait tout pour que ça marche, alors il nous tardait surtout de les commercialiser. A moyen terme : on est déjà sur les modèles de la deuxième collection. On voudrait réaliser plus de modèles pour les hommes et continuer sur notre lancée pour la collection femme, avec des tissus toujours à contre courant des espadrilles traditionnelles. Puis traverser les océans et les continents avec nos espadrilles. Long terme : inchallah’
Freestyle: dites nous ce que vous voulez ! Vive Arsène ! On vous aime.
Merci Audrey ! Découvrez également la description d’Arsène ici.