Nous avons rencontré Marie, tête créatrice du duo Eponyme dont l’objectif est de chausser la citadine avec élégance et confort avec des souliers en éditions ultra limitées ! Gros plan sur cette Frenchy pleine de talent.
C’est toujours enrichissant émotionnellement, on s’engueule, on rigole et il en sort toujours quelque chose d’unique, élégant et intemporel.Marie
Qui se cache derrière Eponyme ?
Marie et Thibault, un tandem explosif à la recherche d’un épanouissement perpétuel, sans oublier l’aide précieuse de mes deux petites sœurs, Alexandra et Hélène.
Quel a été ton parcours avant de créer ta marque ?
Des études de droit et d’économie, puis un premier emploi dans le domaine de l’accompagnement à la création d’entreprises. Et pourquoi pas créer la mienne, la notre ? On a toujours eu cette envie folle de créer notre marque . . . Mais de quoi ? Avec ma passion pour les chaussures . . . Une évidence.
Pourquoi et comment t’es-tu lancée dans l’aventure Eponyme ?
Après des discussions surprenantes et étonnantes avec Thibault et mes sœurs, l’idée d’Eponyme est née. Ce sera une marque de chaussures uniques, élégantes et intemporelles. Il fallait désormais trouver de « petits ateliers parfaits » pour les réaliser. Lors d’un voyage au Portugal, l’alchimie avec ces « petits ateliers » tant recherchés a opéré.
Peux-tu nous en dire plus sur la conception des paires ?
Je dessine tous les modèles après des discussions avec ma team de choc ! Tant pour les formes que pour le choix des couleurs et des matières, nos inspirations et nos goûts s’entrechoquent ! C’est toujours enrichissant émotionnellement : on s’engueule, on rigole, et il en ressort toujours quelque chose d’unique, d’élégant et d’intemporel. Ensuite, nos « petits ateliers parfaits » réalisent les prototypes que j’essaye, teste et valide . . . enfin, il arrive que des allés-retours soient nécessaires. Un dernier point avec la team pour valider la collection, et c’est parti pour la production.
Quelle est la philosophie de ta marque ?
Il fallait rendre nos chaussures uniques, et quoi de mieux que de les faire en séries limitées et numérotées à 100 exemplaires ? Nous sommes même allés plus loin, en faisant tatouer le numéro dans chaque modèle en doré. De plus, les fabriquer à la main dans de petits ateliers en Europe, était une priorité.
Si tu étais un fromage, lequel serais-tu ?
Le halloumi, un fromage grec, ce n’est pas le meilleur mais il me rappelle mes origines auxquelles je suis attachée, même si je reste « Frenchy » avant tout !
Un petit coin de France à nous faire partager ?
Le Pays Basque où on adore aller avec Thibault pour se ressourcer. Particulièrement à la maison d’hôte « la ferme Elhorga » près de Biarritz. Nous avons d’ailleurs fait un petit clin d’œil à ce coin de France, en tournant notre vidéo de présentation de la marque à Saint-Jean de Luz. Merci d’ailleurs à nos copains Renaud et Camille qui se sont prêtés au jeu avec enthousiasme.
Que voulais-tu faire quand tu étais petit Frenchy ?
Quand j’étais petite Frenchy, je rêvais d’être Sisi Impératrice, c’est mon côté « Frenchy-girly ».
Marie, déjà petite Frenchy pleine d’énergie !
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