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Par Joséphine Ranson - Le 9 novembre 2015

Nous avons rencontré Gonzague, le petit Frenchy qui a créé Altopalo, la marque de t-shirts décalés pour afficher votre côté jeune et dynamique ! 

Altopalo se définit par son côté hybride, à mi-chemin entre la mode parisienne et l’univers des start-ups.

Qui se cache derrière Altopalo ?

Gonzague, Gonzi, Gonzo ou encore GZ. . .Son coeur balançait entre lancer sa marque de vêtements ou créer une start-up, De l’union des deux est née Altopalo.

Quel a été ton parcours avant de créer ta marque ?

J’ai grandi à Paris où j’y ai fait toute ma scolarité. Actuellement, je suis en dernière année d’école d’ingénieur et j’ai choisi de suivre une spécialité en entrepreunariat.  Ma formation me permet de suivre en parallèle mes études et de travailler sur le développement d’Altopalo.

Derrière une image sobre et sérieuse, chaque produit révèle une note d’humour, là est l’essence même d’Altopalo.


Peux-tu nous parler de l’univers et de la philosophie d’Altopalo ?

Altopalo se définit par son côté hybride, à mi-chemin entre la mode parisienne et l’univers des start-ups. On retrouve cette influence dans le nom Altopalo, inspiré de Palo Alto: ville de Californie où sont situées un grand nombre de start-ups. Derrière une image sobre et sérieuse, chaque produit révèle une note d’humour, là est l’essence même d’Altopalo.

La marque propose des t-shirts de qualité avec des coupes et des tissus soigneusement pensés. Les visuels viennent diffuser une image jeune et moderne en lien avec l’actualité et les thèmes des startups: Business Model, Objet Connecté, Leadership. . .

De nature joviale et positive, j’ai souhaité imprégner Altopalo de mon caractère personnel, c’est de là que provient la touche humoristique de chaque création. J’ai souhaité exploiter le concept au maximum en allant jusqu’à proposer un t-shirt “Investisseur” à 1 000 000€ pour les plus téméraires!

Une fois ce cadre de créativité délimité, les idées viennent spontanément en s’inspirant du quotidien, au fil des discussions avec des amis, en observant son environnement ou en suivant l’actualité.

Comment as-tu eu cette idée ?

L’idée du concept m’est venue sur un coup de tête au printemps dernier. Je n’ai pas eu peur de concrétiser l’idée car jai toujours eu vocation à entreprendre. Je travaille seul, non pas que je sois solitaire, mais je me suis senti plus efficace à ce moment-là et cela m’a permis d’agir très rapidement pour être prêt dès l’été. Néanmoins, j’ai été soutenu et j’ai toujours pris en compte les conseils de mes proches et de ma copine dans les choix importants.

Quelles sont les étapes de création d’un t-shirt ? Qui fait quoi ?

Après avoir trouvé un concept qui me tenait à coeur, il a fallu créer une première collection.

Il m’a paru important de faire une continuité entre chaque création et en même temps veiller à ce que chaque t-shirt se suffise à lui-même. Une fois ce cadre de créativité délimité, les idées viennent spontanément en s’inspirant du quotidien, au fil des discussions avec des amis, en observant son environnement ou en suivant l’actualité.

En parallèle il a fallu faire le choix du tissu et de la coupe des t-shirts en fonction de la gamme et de la qualité que je souhaitais donner à la marque.

Une fois la collection définie, il faut passer à la phase de production. Pour cela on passe commande auprès de fournisseurs avec qui on définit précisément chaque produit, les quantités souhaitées, les délais et les coûts.

C’est extrêmement stimulant, il n’y a pas de routine, chaque jour est une nouvelle opportunité de faire mieux que la veille.

Que préfères-tu dans l’entrepreneuriat ?

Ce que je préfère est le risque, celui de tout gagner, de faire les bons choix, de prendre les bonnes décisions. Selon moi, le risque d’échouer mérite d’être risqué.

J’aime l’exécution d’une idée, réaliser quelque chose en partant d’une image dans sa tête, d’un rêve, jusqu’à voir sa concrétisation, puis imaginer la suite.

Avoir une vue d’ensemble et pouvoir être décisionnaire me plaît beaucoup dans l’entrepreneuriat. C’est extrêmement stimulant, il n’y a pas de routine, chaque jour est une nouvelle opportunité de faire mieux que la veille.

Bien qu’il s’agisse d’une démarche assez solitaire, on est régulièrement amené à faire des rencontres, que ce soit avec des clients, des fournisseurs, des partenaires ou des journalistes, ce contact humain est très enrichissant.

Je terminerai par : apprendre. Chaque expérience vécue durant une aventure entrepreneuriale, bonne comme mauvaise, est une grande source d’apprentissage et de leçons à tirer. Entreprendre et apprendre ne riment pas par hasard !

Qu’as-tu appris sur toi depuis que tu es entrepreneur ?

Beaucoup de choses, mais j’ai surtout appris que l’entreprenariat est ce que je souhaite faire de ma vie.

Quels sont tes projets pour la suite ?

Continuer sur cette voie de l’entrepreneuriat, finir mes études et bien évidemment, développer Altopalo, renouveller les collections, augmenter les effectifs. . .

Si Altopalo était un fromage français ?

Le Babybel, la forme dégage autant de plaisir que le fond.

Un coin frenchy à nous faire découvrir ?

Altopalo se doit de vous présenter un lieu unique en lien avec l’univers entrepreunarial, la Silicon Valley française: The Family, un accompagnateur de startups situé dans le 4e arrondissement de Paris.

Je suis très inspiré par ce lieu que j’affectionne, je m’y rends régulièrement pour assister à des conférences (“meetups”, dans le jargon) données par des entrepreneurs. C’est un lieu incontournable pour tout entrepreneur ou personne aspirant à entreprendre !

Quel métier voulais-tu faire quant tu étais petit ?

Je voulais être jockey ! Je suis un grand passionné de chevaux et d’équitation.

Gonzague quand il était un tout petit Frenchy !

 

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