Certes, il y a cet accent inimitable pour reconnaître un Marseillais. Mais ce ne serait pas lui faire honneur que de s’arrêter là : après les Bretons, on continue notre petit tour distinctif régional de la population frenchy avec nos amis de Marseille !
1. Le Marseillais n’a aucune confiance dans les transports en commun
Mais alors aucune : la dernière fois qu’il a pris le bus, il devait avoir 16 ans. À Marseille, si t’as pas de voiture ou pas de scooter, et bah c’est comme si t’existais pas.
2. Il met sa vie en suspens les soirs de match
Parce que là bas, le foot ce n’est pas un sport c’est une religion. Et à voir le nombre de terrains disséminés dans la ville, les adeptes du culte sont très très nombreux.
3. Le Marseillais peut boire son petit jaune tous les jours et à n’importe quelle heure
Avec toute l’eau qu’il y a dedans, ce n’est presque plus de l’alcool vous dira t-il ! Le pastaga est une institution locale : à se demander si les Marseillais allergiques à l’anis ne sont pas déportés tout au nord de la France.
4. Le nord de la France commence à Lyon
Oui, c’est là qu’on déporte les Marseillais qui ne boivent pas de pastis. Mais la vraie punition, c’est Paris : et là, on s’équipe comme pour la montagne. On ne parlera même pas de Lille, cette terre arctique sauvage . . .
5. Le Marseillais a un sens de la mesure bien à lui
L’humour marseillais réside dans sa tendance chronique à l’exagération : avec lui, rien n’est anodin, rien n’est petit !
6. Le Marseillais défendra toujours l’honneur de son sport local
Après le foot, il y a la pétanque : c’est tout comme un rituel sacré chez le vrai Marseillais, alors n’allez pas lui dire que vous tâtez du cochonnet sur le Canal de l’Ourcq tous les samedis, il risque de se moquer de vous.
7. Le Marseillais peut se garer n’importe où
À Marseille, on apprend à se garer là où on peut. Alors le petit créneau en côte qui fera pâlir le Parisien, pour lui c’est un jeu d’enfant.
8. À Marseille, la police est en short
Et ça, il faut le voir pour le croire.
9. Le Marseillais respecte l’heure sacrée de la sieste
Du moins en vacances, évitez de tomber dans les clichés : le vrai Marseillais ne quitte pas son bureau à 13h pour revenir à 16h, ça n’est possible que pour les bistrotiers. Il travaille tout comme le reste du pays, mais il commence un peu plus tôt et finit aussi un peu plus tôt, à l’heure du pastaga.
10. Il est super fier du Mucem
Il n’y est pas encore forcément allé lui-même, mais il vous demandera obligatoirement si vous avez vu le Mucem durant votre séjour, un accent de fierté dans la voix.
11. Le Marseillais a beau critiquer sa ville, il n’est vraiment heureux qu’à Marseille
Pourquoi ? Parce qu’on est encerclé par le bleu de la Méditerranée et que ça n’a pas de prix, un panorama pareil.
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